Olivier1er écoutait les paroles de Beau Cardinal, et compris toute la diplomacie qu'il y avait dans son discour : avec suffisament de doigté, il expliquait à Réginhart, que son dédain du peuple ne pouvait que lui jouer des tours, meme si ce dédains venait d'une haute opinion de la Noblesse et qui était quand meme la réalité.
Il en était là dans ses réflexion, quand Reginhart s'approcha de lui.
C'est un grand honneur pour Moi, Mon Frère Reginhart, que de te guider dans cette nouvelle vie.
Je suis sur que tu feras un Bon Basilic, Bon sang ne saurait trahir les siens.