(hrp : désolé pour le retard mais j’ai eu un milieu de semaine chargé irl)
Corentin suivit le beau duc cardinal dans les couloirs de sa demeure. Il n’eut put dire quel chemin ils avaient pris car pour lui, les portes se ressemblaient toutes. Un jour il lui faudrait remédier à ce défaut d’orientation. Finalement, ils arrivèrent dans une vaste salle où se trouvaient des basilics (des membres de l’ordre quoi ^^). Le duc le chargea de se présenter lui même.
Bonjour à vous tous, je remercie le beau duc cardinal de m’avoir fait la faveur de m’amener ici. Même si je vois quelques personnes que j’ai l’honneur de connaître, je vais tout de même me présenter. Je suis Corentin, sénéchal adjoint de l’ordre du temple, il hésita quelques secondes avant d’ajouter, pour le moment tout du moins.
Afin qu’il n’y ai pas de méprise, je vous préviens tout de suite que actuellement, je ne souhaite pas entrer dans l’ordre des basilics, en effet, ma loyauté va directement à l’Eglise Aristotélicienne.
Il eut un petit sourire, afin de se détendre légèrement. Il n’avait jamais été très doué pour les discours… Il espérait ne pas se montrer trop maladroit dans la formulation de ses phrases.
Il y a pas mal de temps déjà que des brigands arpentent la Bourgogne, détroussant de nombreux pauvres voyageurs. Chaque semaine apporte son nouveau lot d’avis de recherche, son nouveau lot de morts. Mais est ce que pour autant de nouveaux brigands sont arrêtés ? Est ce que de nouveaux malandrins se balancent au bout d’une corde ? Non ! Pour la simple et bonne raison que peu de personnes se décident à traquer ces chacals, ces pourritures, ces… ces… ces suppôts de la créature sans nom.
J’ai donc cherché à faire quelque chose… mais que peut faire une personne seule sur les routes quand les brigands attaquent à deux ou trois ? A part se faire détrousser à son tour… pas grand chose.
Il y a peu de temps, j’ai entendu dire que l’ordre des basilics souhaitaient participer activement à la traque des malandrins et autres voleurs de grands chemins. Je suis donc venu vous proposer le service de ma personne et de mon épée pour cette noble tâche.